Hello la communauté !

Aujourd’hui je vous propose une guest-review d’un très gros set de la gamme Marvel, le set 76178 Daily Bugle.
Découvrons ensemble si tous les superlatifs associés à cette boite sont justifiés.

Informations principales :

  • numéro de set : 76178
  • année de sortie : 2021
  • nombre de pièces : 3772
  • prix sur le Shop@Home : 299,99 €
  • nombre d’étapes de construction : 535
  • difficulté : moyenne avec quelques précautions

Boite et inventaire

Vous vous en doutez bien, la boite estampillée 18+ est des plus imposantes qui existent (hormis les quelques rares énormes UCS Star Wars).
Avec un fond noir et un bandeau inférieur bleu caractéristiques de cette nouvelle présentation pour adultes, la boite présente en face avant l’immeuble dans une scène dynamique avec une explosion de la façade. A l’arrière on découvre le bâtiment travaillé sur toutes ses façades avec des vignettes détaillés et une présentation dispersée des différents étages à la mode Creator. Sur le top de la boite on nous présente l’énorme floppée de minifigs livrées (25 !) qui mériteront cette fois-ci un paragraphe dédié.

A l’intérieur de cette grosse boîte, on a une carton intermédiaire blanc contenant 18 sachets numérotés de 1 à 8, un sachet non numéroté (3 plates 6×14, 1 tile 6×14, des éléments de toile et de flamme, des tiles 2×2 imprimées type journaux), la grande plate 32×32, la notice en reliure collée et 2 planches de stickers (33 au total dont de sacrés morceaux), et hors de cet emballage secondaire, les 18 autres sachets numérotés de 9 à 16.

Concernant l’inventaire, il y a une longue liste d’éléments rares notamment parmi les éléments qui composent les nombreuses minfigs.
A consulter ici.

Et c’est parti pour quelques heures de construction !

La construction

Sachets n°1

Comme d’habitude avec les imposants bâtiments, on commence le dallage du trottoir sur la plate 32×32.
On pose un joli damier noir & blanc de tiles 1×1 devant l’entrée du Bugle.
Puis c’est un sol vert pour le RDC.
On accessoirise la rue avec une armoire électrique, une plaque d’égout avec un beau sticker New York, une borne incendie noire et grise sur le bord du trottoir, une petite souris à côté de cartons qui cache la brique permettant de raccorder les modulars entre eux, et de l’autre côté un tonneau et deux caisses qui cachent également cette brique de fixation.

Sachets n°2

On commence de suite par la pose des 1ers stickers transparents pour la porte de service à l’arrière du bâtiment. Attention donc aux traces de doigts.
On érige les premiers murs et on monte un simulacre d’ascenseur qui fait bien le job.
On glisse aussi dans les murs une cache couverte d’une toile pour le sac à dos de Peter Parker.
On construit un superbe distributeur de canettes (bon les tiles tampographiées pour le haut des boissons, c’est bien de le savoir parce que l’on ne les verra jamais…).
On installe le poste d’accueil & de sécurité ainsi que le banc de la salle d’attente.
Quelques décorations au mur et un présentoir de journaux en plus, voilà un RDC fort bien aménagé.

Sachets n°3

On continue de monter le mur du RDC avec un trou béant sur la gauche et des colonnes de verre sur la partie avant de l’immeuble.
Attention à l’étape de raccordement de toutes ces élévations, je recommande de bien commencer par les angles, j’ai eu la désagréable expérience d’appuyer un peu trop fort et d’écraser un partie des murs.
On installe la porte vitrée à ouverture latérale.
On monte le porche surmonté de verrières également.

Sachets n°4

On pose le premier des imposants stickers pour représenter l’énorme écran d’informations du RDC.
On finit le haut des murs avec les classiques longueurs de tiles qui permettront de poser l’étage supérieur comme dans les autres modulars.
On construit le morceau de mur qui vient boucher le trou béant sur le côté de l’immeuble (qui a malheureusement tendance à sortir tout seul de son encoche lorsque l’on manipule le set) et on pose à la verticale les longues pièces de type rail pour finir la façade.
On aménage le fronton avec quelques stickers et un point d’accroche pour minifig.
A l’arrière on installe une climatisation et un lampadaire.
Sur la droite on dresse le kiosque à journaux décoré de quelques stickers.
Et on pose devant deux pots de fleurs.

Sachets n°5

Dans cette étape, on construit un taxi jaune new-yorkais de 6 tenons de large.
Le châssis utilise la plate classique pour ce genre d’exercice.
Les feux sont brickbuilt et les proportions extérieures très correctes mais je suis déçu de l’intérieur très vide.
Lorsqu’on y place les minifigs, elles sont collées l’une derrière l’autre et ce n’est pas terrible comme rendu.
On érige ensuite l’amas de sable et de goudron sur lequel on peut poser l’homme sable.
Le résultat est sympa et ça donne une bonne dynamique pour la mise en scène du vilain.
Enfin on rajoute à l’arrière de l’immeuble deux containers à ordures.

Sachets n°6

C’est parti pour le 1er étage.
On utilise les 3 plates 6×14 du sachet annexe et on applique un sol en tiles oranges.
On refait les fausses portes d’ascenseur et on fixe deux niveaux de l’escalier rouge de service.
On décore les murs avec 3 tiles blanches tampographiées.
La pièce est dédiée à un ensemble de quatre bureaux accessoirisés notamment avec un mat central de multi écrans via une série de stickers.
Il est vraiment sympa cet open space.

Sachets n°7

On rajoute deux meubles pour le coin snack avec cafetière et gâteaux.
Un peu plus loin c’est un distributeur d’eau.
On érige ensuite les montants des colonnes de verre puis les colonnes elles-mêmes.
On pose un poutre transversale qui prend appui sur la colonne d’écran au centre de l’open space.

Sachets n°8

On referme une partie horizontale à l’arrière du toit.
On installe comme au RDC les longs rails à la verticale.
Puis on crée une terrasse sur la partie fermée.
On passe à la face avant de l’étage, indépendante du reste.
La conception est similaire aux murs fixes : murs vitrés & rails verticaux.
On passe à une phase délicate de pose de 3 très gros stickers.
Il faut reconnaitre que cette façade d' »écrans géants » fait le job en terme de rendu.

Sachet n°9

On passe au deuxième étage.
On crée la dalle avec les plates fournies.
Puis on tile le sol comme aux autres niveaux.
On monte la suite de l’escalier de service.
On y installe un point d’accroche pour une minifig.
Comme aux autres niveaux, on rajoute les fausses portes d’ascenseur dont on notera le décalage de verticalité par rapport aux étages inférieurs du fait de la terrasse.
Enfin on élève encore un peu l’escalier et les murs limitrophes.

Sachets n°10

On construit des accessoires : une photocopieuse, une pile de journaux, une pile de cartons et une commode à tiroirs.
On monte une cloison avec une décoration murale.
Puis c’est au tour du mur arrière vert.
On pose le bureau et le fauteuil de Peter.
Enfin on érige les classiques parties vitrées.

Sachets n°11

On pose aux murs une grosse toile et une araignée.
On tile classiquement le haut des murs.
On accroche un lampadaire au-dessus de la porte comme au RDC.
C’est au tour des longs rails à la verticale.
On pose cet étage sur l’immeuble et on s’attaque à la façade.
Cette dernière va être dynamique avec la traversée du bouffon vert à travers les vitres.
On érige donc un mur vitré destructuré avec un trou béant.
On y accroche via ball joint des éléments explosés de murs et de vitres ainsi que le planneur du bouffon.
Et ça rend vraiment bien cette mise en scène !

Sachets n°12

On s’attaque à un nouvel étage, évidemment par la plancher.
On tile la partie droite en bleu et la gauche en rouge foncé.
On pose un premier morceau de l’escalier de service.
Puis on ajoute les portes d’ascenseur.
On accroche la seconde partie de l’escalier.
Et on monte une partie des murs.

Sachets n°13

On construit un premier bureau (celui de Betty) au design original.
On pose un meuble à tiroirs avec des trophées dans le bureau de JJ.
On rajoute aussi son beau bureau avec un gentil message à l’attention de Peter sur l’écran (« You’re fired »).
On installe la cloison vitrée entre les deux bureaux.
On accroche à cette cloison un écran de télé.
On érige alors les murs vitrés comme aux autres étages.

Sachets n°14

On termine le haut des murs en tiles.
On pose les longs rails verticaux.
On installe sur la façade arrière une climatisation sur laquelle un oiseau a fait son nid.
On y accroche aussi un panneau publicitaire qui met en valeur le dernier des très gros stickers.
On passe à la façade vitrée amovible.
C’est une partie un peu répétitive comme au 1er étage.

Sachets n°15

On s’attaque au toit de l’immeuble.
On construit la dalle avec le même type de montage que pour les autres niveaux mais sans tile au sol.
On érige un sympathique château d’eau sur lequel on colle deux stickers.
On installe enfin une grosse antenne relais.
Et pour la mise en scène de Firestar, on y accroche un ensemble de flammes.

Sachets n°16

On monte enfin l’imposante et magnifique enseigne DAILY BUGLE en brickbuilt.
Et c’est fini pour l’immeuble.
Reste à construite la spider mobile.
C’est un petit buggy en monte pneumatique mixte.
L’arceau avant est un détournement des classiques pistolets gris.
On la fixe en haut à gauche de l’immeuble sur la pièce tournante.

Les minifigs

Pour une fois je leur dédie un chapitre entier tant il y a à dire.
Déjà leur nombre est juste impressionnant : 25 !
Et il y a pas mal d’éléments rares parmi celles-ci.

Commençons par les civils.
Il y a le très peu connu Bernie, chauffeur de taxi, tante May, que l’on ne présente plus dans l’univers Spidey, et Gwen Stacy, fils du commissaire et 1er grand amour de Peter.
Les jambes sont monochromes mais les torses sont joliment détaillés, et ce sera la même remarque pour tous les civils.
May et Gwen ont des visages à double expression mais la chevelure de la tante a du mal à cacher la tampographie arrière, dommage…

Passons à la rédaction du Bugle.
L’équipe est diversifiée et ça c’est vraiment bien.
On a la photographe free-lance Amber Grant et le journaliste Ron Barney, personnages peu connus.
Ron présente le même défaut pour sa double expression que Tante May, même si c’est moins flagrant du fait de la couleur de la barbe assortie à la chevelure.

On a évidemment le rédacteur en chef Robbie Robertson et le non moins fameux journaliste Ben Urich, un des rares personnages à avoir percé à jour l’identité secrète du diable rouge.

Et pour finir, Peter Parker en civil et le grogon JJ Jameson accompagné de sa fidèle secrétaire Betty Brant qui a connu très brièvement une amourette avec le héros.
La double expression de JJ entoilée est juste mythique. 😁

Enchainons avec les vilains.
L’homme sable, que l’on peut mettre en valeur sur un monticule comme on l’a vu précédemment, est magnifique sur sa pièce spécifique en guise de jambes.
Mysterio est bien plus fade que la version que j’avais testée dans ma mini review sur le forum ici, mais il correspond plus aussi au personnage des débuts, ce qui est raccord avec la présence de Gwen Stacy, histoire de se replacer dans le contexte historique de Spidey.
Le bouffon vert est magnifique, des pieds à la tête.

Pour ce qui est des symbiotes, de face, avantage à Carnage qui est tampographié des pieds à la tête alors que Venom doit se contenter de jambes monochromes (même si finalement ça correspond au design du costume du comic).
De dos, la couleur noire du support des appendices pour Carnage dénature un peu le rendu.

Enfin Doc Octopus nous vient avec une nouvelle version de bras articulés, certes pas évidents à mettre en mouvements mais j’aime bien le rendu.

Passons aux anti-héros.
Blade, chasseur de vampire, armé de ses deux katanas, est une minifig sympa mais j’ai du mal à comprendre ce qu’elle fait dans ce set, certes le personnage a déjà croisé Spider-Man mais il y avait largement de quoi piocher dans l’inventaire Marvel pour trouver un autre « héros » plus régulier de l’univers Spidey.
Frank Castle, alias le Punisseur, a droit à des jambes en double moulage tout comme Felicia Hardy, dite la Chatte Noire.
Frank est équipé de deux armes à feu censées représenter de véritables fusils, c’est franchement rare dans l’univers LEGO qui s’interdit de mettre en avant tout ce qui peut représenter la guerre (évidemment Star Wars n’est pas concerné par cette politique du fait de son caractère d’héroïc fantasy…).

Les héros hors tisseurs sont deux, Firestar, mutante de son état, et le justicier de Hells Kitchen, Daredevil.
Autant pour Matt Murdock je comprends sa présence, autant pour Firestar je ne vois pas là non plus ce qui a motivé ce choix quand on sait que cette héroïne est arrivée dans l’univers Spidey via une série d’animation au début des années 80 et que la version BD a connu ses faits d’armes dans les séries mutantes.
Pour autant les minifigs sont correctes même si j’ai une nette préférence pour l’homme sans peur (mais ça c’est probablement aussi du à mes lectures de comics 😉)

Enfin, terminons avec les lanceurs de toile.
Il y a d’abord des versions alternatives d’univers parallèles, Miles Morales, Gwen Stacy en Spider-Gwen et surtout l’original Spider-Ham issu d’un univers parodique. Et je termine avec le héros du set, Spider-Man qui regroupe un paquet des meilleurs techniques de création LEGO : des jambes en double moulure, un torse, un tête et mêmes des bras finement tampographiés. Belle version que celle-ci.

Pour le plaisir, je vous mets ci-dessous une vue d’ensemble de toutes les minifigs du set.

Verdict

Il y en a des choses à dire sur ce set.
Commençons par l’aspect global très réussi.
Les façades sont toutes travaillées et soignées (certains modulars ne peuvent pas en dire autant).

La dynamique de l’échappée du bouffon vert est un plus et celles et ceux qui voudraient s’en passer ont suffisamment de pièces à disposition pour refermer proprement les baies vitrées.

 

L’accès aux différents niveaux se fait comme pour un modular classique avec les étages qui reposent les uns sur les autres mais avec un vrai gros plus pour les façades avant vitrées qui sont indépendantes et permettent d’accéder aux intérieurs directement en mode immeuble.
Reste le RDC pour lequel le designer a proposé un accès via le mur de gauche avec un pan amovible découpé à la serpe et qui a la fâcheuse tendance à tomber tout seul lors de la manipulation du set. Je me dis qu’un mur sur charnières aurait fait aussi bien l’affaire voire mieux.

Il y a aussi plusieurs points d’accroches pour les minifigs qui permettent de mettre les héros et vilains en situation.
Pour finir sur l’aspect extérieur, le bâtiment en impose en hauteur (OK l’antenne ça aide pour les records 😊) et devrait faire son effet au milieu de modulars.

L’intérieur est très détaillé avec des bureaux aux designs différents et tout plein d’accessoires intéressants. La conception du faux ascenseur prend des libertés sur la continuité verticale mais ce n’est pas bien méchant.
Tous les niveaux sont tilés et ça aussi on ne le trouve pas dans les modulars classiques.

Pour ce qui est des deux véhicules, le taxi est réussi de l’extérieur mais cruellement vide à l’intérieur.
Quant à la spider mobile, le véhicule est sympathique et rajoute un élément de jouabilité pour peu que l’on ne se cantonne pas à l’exposition de ce set.

Concernant les minifigs, leur nombre (pour rappel 25 !) est déjà une belle surprise.
En plus il y a beaucoup d’éléments rares et exclusifs.
On obtient des personnages qu’aucun autre set ne propose cependant j’aurai fait d’autres choix à la place de Blade & Firestar comme Wilson Fisk ou Electro par exemple.
Les tampographies sont belles, il y a des jambes en double moulure mais on a aussi des jambes bien neutres pour beaucoup de minifigs.
Reste quand même que l’on a le sentiment d’être gâté et qu’il y a ce qu’il faut pour imaginer plein d’histoires et de mises en scène.

En effet, le positionnement tarifaire et la taille du set ont placé cette boite dans la catégorie 18+ mais il n’y a pas de justification pour ce qui est des techniques de montage. Il y a certes l’originalité des décors et accessoires des intérieurs mais je n’ai pas rencontré de difficultés qui justifient cette classification hormis les précautions d’ajustement des murs vitrés comme je l’ai écrit dans l’étape des sachets n°3 et la pose des énormes stickers.
On a même de belles répétitivités dans la conception de ces façades vitrées mais c’est l’architecture de l’immeuble qui veut ça.
On pourrait finalement se dire que c’est un beau gros jouet offrant une jouabilité énorme pour un enfant même si le set est clairement vendu pour être exposé tel quel.

Evidemment je vais aborder le prix : 300€ pour près de 3800 pièces dont 25 minifigs.
Certes c’est un gros budget mais on en a pour son argent, moins pour l’expérience de construction mais beaucoup plus pour le rendu final impressionnant.

Pour être totalement transparent, ce set est issu de ma collection personnelle, j’espère donc avoir été le plus honnête possible dans ma critique.

J’espère que vous aurez trouvé dans cet article de quoi vous faire une opinion sur ce modèle. Vous le trouverez en exclusivité sur le Shop@Home, à cette adresse. N’hésitez pas à partager votre point de vue, en intervenant dans les commentaires un peu plus bas !

RÉSULTATS
Design
Expérience de construction
Minifigs
Jouabilité
Bonne affaire
guest-review-76178-daily-bugle-lego-marvelLe Daily Bugle est un immeuble légendaire de l'univers Marvel. Ce set lui rend parfaitement hommage en proposant une architecture impressionnante. Il y a pléthore de personnages dont de belles surprises. La construction n'est certes pas la plus passionnante des sets de cette taille mais le design est quasi parfait. L'exposition ou le jeu, à vous de choisir !
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21 Commentaires
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Le Tonyz

Très bonne review, Elvis, et richement illustrée ! C’est un super set qui rend hommage à l’univers Spider-Man (que je connais mal en dehors des films…).
Même si je fais l’impasse sur ce set, il vaut son prix pour avoir un bel immeuble et une flopée de minifigs intéressantes 🙂

Elvis

Merci !
Et oui c’est bien plus un hommage à la BD classique qu’aux films qui sont parfois plus proches de l’univers Ultimate

Jkay-LoKo

J’ai survolé la review pour ne pas me spoiler la construction 😆
Mais bravo pour ton travail !
Une fois construit il est vraiment magnifique en tout cas.

Elvis

Je comprends parfaitement, ça m’arrive aussi de ne pas trop lire en détails le test d’un set que je souhaite monter dans les semaines qui suivent 😉

metalsonic

Pas du tout fan des Lego à licences en général (quoi que.. j’en reparle bientôt 😛 ) maisayant grandi avec les vieux « Strange » et « Nova » je trouve ce set sublime!

metalsonic

Oui, Blade et Spider-ham je ne vois pas trop l’intérêt… Idem pour Carnage qui pour moi est juste un « Venom + » méchant (me lancer pas sur les Anti-Venom, Toxin, Mania…).
La Chatte Noire et Daredevil sont de bonnes surprises, mais on aurait aimé un p’tit Lézard, Caid, ou Rhino au format « grosse figurine » façon Hulk ça aurait été sympa!

Sinon j’attends un set Baxter Building avec les 4 fantastiques! 😛

Last edited 2 années il y a by metalsonic
Elvis

Quelle merveilleuse idée qu’un Baxter Building ! 👍

Simicro

Pareil que toi pour Strange et Nova 🙂

spike

Contrairement aux autres avis! Je ne te remercie pas….. Maintenant, je vais devoir débourser 300€ pour l’acquérir ! 🙄

Simicro

Haha toujours l’humour de Elvis 🙂

Weevy

Sacré boulot ! Merci beaucoup pour le partage 🙂

Julien

Superbe revue Elvis 👍🙏
Un plaisir de te lire…
J’ai monté ce set il y a quelques semaines et ça impose pas mal.
L’intérieur bien détaillé avec tous les sols tilés c’est bien sympa.
Je trouve juste le petit véhicule accroché au building trop « junior », il aurait pu être un peu plus travaillé.
Sinon ça claqué bien exposé on se croirait à New York.

Simicro

Imposant building et imposante review richement illustrée, merci Elvis. La photo d’ouverture est superbe. Un set qui mérite bien les 5 étoiles en jouabilité.

Elvis

Merci
J’avoue que j’ai bien réfléchi avant de choisir la photo d’ouverture.
Et cette enseigne est tellement belle, imposante et tout en longueur qu’elle a fini par être l’évidence.

spike

l’affiche vintage lego créée pour l’occasion est aussi très sympathique 🙂

tonio_sport

Merci Elvis pour ta review. Tu m’a fais un peu changé d’avis. C’est le pb de répétition dans le montage qui me freine un peu. Mais je suis de plus en plus convaincu par sa force d’exposition. Je serai curieux de le voir à coté d’autres modèles de modular notamment le bureau du détective. Je vois que ce set commence à arriver en petit nombre dans certains magasins de revente en Europe. Donc je vais être patient et attendre une petite baisse de prix.

Elvis

Avec plaisir.
Je ne peux pas encore le mettre en situation au milieu d’autres modulars car j’ai pris énormément de retard dans l’aménagement de ma Lego room
Promis dès que ce sera possible vous aurez les photos sur le forum 😉