On attaque cette série de tests des nouveautés LEGO attendues pour le 1er janvier 2024 avec une jolie boîte attendue dans la gamme LEGO Monkie Kid, la référence 80054 Megapolis City 5th Anniversary. Présentée en 2020, cette gamme est la première du fabricant à être inspirée par la célèbre légende chinoise du Roi Singe Sūn Wù Kōng. Selon le système chinois, il s’agira bien en 2024 du 5ème anniversaire : pour faire simple, les bébés qui naissent ont déjà 1 an.
Informations principales :
- numéro de set : 80054
- année de sortie : 2024
- nombre de pièces : 2330
- nombre d’étapes de construction : 728
- prix sur le Shop@Home : 179,99 €
- temps de construction : 5 heures
- difficulté : moyenne
Boîte et inventaire
La boîte est particulièrement imposante pour un set vendu « seulement » 179,99 € – en comparaison avec d’autres gammes sous licence, notamment. Sur la face avant, les différents personnages vaquent à leurs occupations dans cette « ville » au look un peu particulier. On y trouve aussi le logo du 5ème anniversaire de la gamme LEGO Monkie Kid, et la ribambelle de personnages que le set contient nous est présentée en partie basse. Au dos, on peu observer la ville sous un autre angle ainsi que quelques vignettes de détail. Une vue éclatée de l’ensemble nous montre également la conception « modulaire » de l’ensemble.
À l’intérieur, on trouve 28 sachets numérotés de 1 à 28 (aucun sachet en double), et un sachet sans numéro. Une pochette en carton contient les 2 grosses notices d’instructions (264 et 232 pages), une planche d’éléments souples dorés, et 3 planches d’autocollants pour un total de… 75 stickers ! Cerise sur le gâteau, l’une de ces planches est imprimée sur un fond transparent, prenez garde aux traces de doigts (oups, j’ai oublié la photo des notices et des stickers !).
L’inventaire est plutôt riche avec 2330 pièces pour un prix public de 179,99 €. Les éléments sont répartis en plus de 800 références différentes et on trouve dans cet inventaire quelques éléments spécifiques ou rares : une jolie sélection de pièces teal, des éléments transparents dans 8 teintes différentes, des éléments de toiture avec une courbure double, ou encore beaucoup d’éléments dorés dont un grand cercle qui servira à la construction de la grande roue.
Les minifigs
Comme tout bon set « commémoratif », celui-ci se devait de contenir son lot de minifigs emblématiques du thème LEGO Monkie Kid. Et de ce point de vue, on est plutôt servis avec pas moins de 15 personnages.
Monkie Kid porte d’ailleurs une veste inédite jusqu’ici, on devine sur la poche le « 5 » commémoratif du cinquième anniversaire de la gamme. Et la tampographie est vraiment sublime. La tenue de Mei (torse et jambes) est identique à celles de tante Tai, et est jusqu’ici inédite. On observe ici une jolie tenue traditionnelle chinoise, qui vient se prolonger jusque sur les jambes tampographiées jusqu’au bout des pieds. Pigsy et Mr. Tang ont eux aussi droit à un nouveau torse pour lequel il n’y a pas grand-chose à redire, c’est très bien fait. Enfin, pour en finir avec cette première « brochette » de personnages, le pantalon de Monkey King est également inédit, tout comme sa tête maquillée de blanc.
Les torses de la White Bone Demon, de Sandy, de la Spider Queen et d’Evil Macaque sont inédits (celui de tante Tai aussi, mais il est identique à celui de Mei vu précédemment). C’est également le cas des têtes de la White Bone Demon, de Sandy et d’Evil Macaque. Là encore, je ne trouve pas de reproche à faire sur la qualité de la tampographie – mention spéciale malgré tout pour le torse d’Evil Macaque que je trouve particulièrement sympa !
Parmi les 5 derniers personnages, seul le torse de Lee (premier personnage à gauche) n’est pas inédit – c’est donc le cas de tous les autres avec, dans l’ordre, Lady Yu, le Gold Horn Demon, le Silver Horn Demon et Red Son. Notez d’ailleurs que les deux horn demons sont identiques (y compris la tête, double face), au casque près. Leur tête est inédite, tout comme celle de Red Son.
Je laisserai aux « experts » le soin de me donner leur avis sur la pertinence de cette sélection mais de mon côté, je la trouve suffisamment variée tout en incluant les personnages incontournables de la gamme. Et 15 personnages dans une boîte à 180€, c’est assez rare pour être souligné. Mon seul regret – et j’ai l’impression de me répéter – c’est que j’aurais aimé un peu plus de motivation de la part de LEGO pour tampographier les jambes. Ici, seulement 5 des 15 minifigs y ont droit.
La construction
LEGO nous propose ici une construction « modulaire », c’est donc assez logiquement qu’on va assembler les différents « modules » les uns après les autres.
Le premier module construit est un module de « support ». Sur une base Technic, un cadre de 8×16 tenons servira à la fixation des constructions. Et sur les côtés, des pins Technic permettront de connecter cette base au reste de la construction. On remarquera surtout ici la manière de réaliser les petits escaliers avec des tiles clipsées sur une petite échelle.
Le premier module « supérieur » (hors structure) est un simple escalier posé sur une plate de 4×8 tenons, avec quelques éléments de décor en dessous. On attaque ensuite un magasin de couture sur une base de 8×8 tenons, avec une machine à coudre et une bobine de fil à l’intérieur, et des rouleaux de tissu à l’extérieur. À en juger par l’enseigne, le magasin semble tenu par la Spider Queen. Au premier étage de ce bâtiment, on construit un cabinet d’acupuncture avec un schéma plutôt rigolo accroché au mur… et un squelette pendu au fond. L’enseigne vient se plaquer sur des briques SNOT en façade, et le petit bout de toit est installé sur des charnières. Sur le toit, on construit un nouvel escalier – avant de placer le tout sur la base construite lors de la première étape.
Le module suivant est un peu « méta » – il s’agit d’un distributeur automatique de LEGO comme on peut en trouver dans certains aéroports. On devine même un set LEGO Monkie Kid à l’intérieur. On vient le poser à côté du couturier. Au-dessus, on fixe une enseigne en forme de chaussure, dont on se demande ce qu’elle vient faire là.
On continue avec un peu de décoration de la base, puis avec un petit module à attacher à cette dernière : un stand de brochettes avec son barbecue et un petit panneau au-dessus.
On repasse ensuite aux choses « sérieuses » avec un très joli belvédère – remarquez ici les superbes barrières dorées. Organisée sur deux niveaux, la toiture orange est intéressante avec l’utilisation d’éléments à double courbure. On accole un petit amas de neige à ce belvédère avant de fixer l’ensemble au reste de la construction.
On s’attaque ensuite au support « principal ». La conception de la base est similaire au support assemblé en début de construction : une structure à base d’éléments Technic permettant de surélever les futures constructions, et un petit escalier d’accès. Avec une nuance néanmoins : le module (de 8×8 tenons) qui sera placé côté gauche sera positionné en biais.
Des grands panneaux gris sont disposés à l’arrière de la construction, et sont solidarisés à l’aide de beams Technic. Ils servent à la fixation de la plateforme supérieure. On assemble ensuite cette plateforme (de 8×24 tenons) puis on l’attache à la structure. Deux renforts obliques à base d’axes Technic terminent la construction de ce support principal.
L’étape suivante, qui achève la première notice d’instructions, est dédiée à la décoration de la structure qu’on vient d’assembler. On y ajoute deux panneaux publicitaires, dont un plutôt grand de 6×6 tenons – toujours galère d’appliquer correctement les autocollants sur des pièces de cette taille. Un rail de montagne russe flanqué de ronds blancs montrant quelques héros de l’univers Monkie Kid vient se clipser en partie supérieure, et un poteau électrique sur la base. On constitue une réserve de pins noirs à l’intérieur de celle-ci.
Les structures sont maintenant terminées, la deuxième notice sera consacrée exclusivement à la construction des modules pour habiller la plus grande. Et on commence par le plus grands de ces modules, l’ascenseur. Sa conception s’étend sur 3 niveaux, très similaires. À l’intérieur, on installe une vis sans fin et un petit « plateau » sur lequel installer la minifig qui décide de se rendre aux niveaux supérieurs. Une molette en partie haute permet de le mettre en mouvement, tandis qu’il coulisse sur les briques latérales. La construction de cet ascenseur s’achève par un bel arbre en partie supérieure – remarquez ici les nouvelles pièces roses qui font office de fruits.
J’avoue ne pas avoir bien compris ce que vendait la boutique du module suivant – on y installe simplement quelques éléments verts translucides dont une brique de 2×2 fixée sur un support de minifig. J’aime par contre particulièrement les deux parois vitrées, qui renferment chacune deux serpents en vis-à-vis – une technique de « remplissage » déjà vue par exemple dans le set 70620 Ninjago City, même s’il s’agissait là de les remplir avec des petites round tiles. Les portes vitrées sont décorées de deux autocollants, pas spécialement faciles à aligner correctement.
Au niveau supérieure, on installe la loge du DJ avec deux platines vinyles et plusieurs disques rangés dans un bac ou fixés au mur. Petite variation ici dans la réalisation des murs, avec deux ouvertures circulaires oranges, c’est simple mais réussi. Deux enceintes sont fixées sur des ball joints, et l’enseigne en forme de platine géante est installée sur une charnière. On termine ce module avec un petit arbuste.
La boutique suivante renferme des machines de style Gacha Pon – où on insère une pièce pour obtenir une babiole enfermée dans une capsule en plastique. Deux machines sont à l’intérieur, la troisième se situe sur le trottoir. Au-dessus, on construit en guise d’enseigne les têtes de quelques personnages de l’univers Monkie Kid (le Yellow Tusk Elephant, le Golden Winged Eagle et l’Azure Lion). Une petite jardinière vient se fixer sur le côté à l’aide de pins Technic. Et c’est ainsi que se termine le niveau inférieur.
Pour le niveau supérieur, on commence par un petit module avec un support et un livre noir (désolé, je n’ai pas la référence – n’hésitez pas à m’éclairer !), puis une sorte de fast-food qui vend de la volaille, on peut voir les sauces sur le comptoir. La partie inférieure est réalisée avec des vitre blanches insérées dans des cadres. Au-dessus, les trois éléments du store restent bien alignés grâce à des pièces clipsées en dessous. On ajoute l’enseigne et un climatiseur, puis un canard qu’on imagine être une référence au célèbre canard LEGO en bois, fabriqué et commercialisé dans les années 30 par le fondateur du groupe LEGO, Ole Kirk Christiansen. On habille ensuite un grand axe Technic de pièces rouges et dorées, avant d’y fixer une grande pièce souple dorée avec quelques nuages qui vient en faire le tour. On termine avec l’antenne, qui fait culminer notre set à 57cm de haut.
Le dernier module est basé sur une plate de 8×16 tenons. On y installe la base de la structure de la grande roue, et une machine à pinces permettant ici de gagner différents couvre-chefs. On installe la structure principale de la grande roue (une grande pièce dark turquoise de forme triangulaire) puis on s’attaque à la grande roue elle-même. Sa conception est intéressante : sur un grand cercle doré, on vient fixer des beams Technic que l’on rassemble au centre avec des disques à 6 trous (habituellement utilisés pour entraîner des courroies). Il ne reste qu’à construire les 6 nacelles monoplaces, identiques, et à les fixer avec un axe Technic à la structure.
Verdict
Un joyeux bazar coloré
La première remarque qui vient à l’esprit une fois la construction terminée est la suivante : c’est coloré ! Peut-être un peu trop trouveront certains, personnellement je trouve que ce mélange de couleurs correspond plutôt bien à l’univers LEGO Monkie Kid. Si c’est varié dans les couleurs, ça l’est aussi dans les formes. Foncièrement, l’architecture des différents modules est radicalement différente et contribue à cet aspect presque « organique »… pour ne pas dire un peu bordélique. On pourra même réorganiser l’ensemble comme on veut, histoire de mettre encore un peu plus le bazar.
Ce qui fait que tout ceci manque un peu de cohérence, même si c’est ici une volonté délibérée des designers. Cette conception leur permet d’intégrer un maximum de références, sans trop se poser de questions, à l’univers LEGO Monkie Kid (et à LEGO en général) pour ce set qui en célèbre le 5ème anniversaire.
Une conception modulaire à double tranchant
Toutes les constructions sont basées sur des modules de 8×4, 8×8 et 8×16 tenons – offrant une variété de mises en place qui devraient plaire aux plus créatifs. On pourra par exemple installer la grande-roue sur la plateforme basse et l’ascenseur en haut, même si ça n’aurait plus tellement d’intérêt.
Autre point fort, cette conception permettra de combiner ce set avec d’autres boîtes LEGO Monkie Kid pour créer une ville de plus grande ampleur. Plus précisément avec les références 80036 The City of Lanterns (2187 pièces – 139,99 €) et 80044 Monkie Kid’s Team Hideout (1582 pièces – 99,99 €) – ça demandera un sacré budget, mais la construction sera alors particulièrement impressionnante.
Revers de la médaille de cette conception modulaire, le plaisir de construction en prend un coup. Forcément, sur des espaces contraints par ces dimensions réduites, difficile de faire la part belle aux techniques de construction inventives. Les éléments les plus intéressants à construire sont précisément ceux qui s’affranchissent de cette contrainte avec, par exemple, les différentes enseignes ou les morceaux de végétation.
Toujours dans la même optique, quand on veut garder un bout de trottoir devant, l’intérieur des modules se trouve réduit à la portion congrue. L’espace y est souvent très restreint et permettra difficilement d’y mettre en scène les nombreux personnages fournis. Et à moins de retirer les modules, l’intérieur sera parfois difficilement accessible depuis l’arrière de la construction.
Dommage également que LEGO n’ait pas prévu la possibilité de construire ce set à plusieurs. Il s’y prêterait pourtant à merveille. Ici, il n’y a que deux notices d’instructions malgré la vingtaine de modules à construire. Espérons que cette boîte sera rapidement disponible dans l’application LEGO Builder et sa fonctionnalité Build Together – qui permet déjà de « tronçonner » la construction de nombreux sets pour une expérience de construction collégiale et familiale.
Enfin, cette conception modulaire ne laisse pas non plus beaucoup de place pour intégrer des fonctionnalités intéressantes et ici, c’est la jouabilité qui en prend un coup. Dans une boîte de cette gamme « maison » comptant plus de 2000 pièces, on serait en droit d’attendre un peu plus qu’une grande roue « manuelle » (pas de manivelle ou autre mécanisme) et un ascenseur sur une vis sans fin.
La foire aux autocollants
Petit aparté relatif à l’expérience de construction : les autocollants sont vraiment nombreux, 76 au total dont une planche d’éléments transparents. Même s’ils contribuent sans aucun doute à l’esthétique de l’ensemble, ils sont parfois difficiles à coller correctement. Et les plus jeunes (cette boîte porte la mention « 10+ ») auront peut-être besoin d’aide à ce moment-là.
Une collection de minifigs impressionnante
Ce set « commémoratif » n’en serait pas vraiment un s’il ne contenait pas une grosse sélection de minifigs dont les personnages principaux de l’univers LEGO Monkie Kid. Il y en a 15 en tout, sans compter le robot 2D-Gong et Mo, le chat de Sandy. Je vous laisse aller lire le chapitre qui leur est dédié un peu plus haut mais pour résumer, cette sélection me paraît suffisante et bien réalisée même si j’aurais aimé plus de pantalons tampographiés.
Un budget raisonnable
Pour terminer sur une note positive, avec un inventaire de 2330 pièces pour 179,99 € (soit 0,077 €/pièce), ce set se situe dans la fourchette basse de la gamme LEGO Monkie Kid. Pour ne rien gâcher, même s’il ne contient pas beaucoup d’éléments spécifiques ou rares, l’inventaire est particulièrement riche avec plus de 800 références de pièces différentes qui devraient plaire aux plus créatifs d’entre nous. Je qualifierai donc ce prix de « raisonnable » – à vous de voir ensuite s’il est réellement raisonnable de dépenser 180 € dans un set LEGO !
Voilà, j’espère que vous aurez trouvé dans cet article de quoi vous faire une opinion sur ce modèle. Vous le trouverez sur le Shop@Home, à cette adresse. Merci à LEGO pour la fourniture du set pour cette review.
Merci pour cette revue !
La construction modulaire de ce set est sympa et permet effectivement des mises en place différentes selon ces envies. La collection de figurines est impressionnante et toutes les figurines sont superbes ! Je trouve ce set globalement intéressant, même si je connais mal ce thème.
Merci pour cette revue détaillée et les nombreuses photos. Je vais commencer par mes regrets sur ce set, je trouve dommage de ne pas avoir Sandy dans les personnages et surtout dommage que la pléthore d’autocollants ne soit pas réduite. Ca me choque moins mais c’est dans les négatifs, dommage cet arrière assez vide qui donne accès à des espaces réduits, on n’est pas sur les beaux sets de la ville Ninjago. Malgré ça, je trouve ce set très intéressant car avec un prix « contenu », on construit un bout de ville très original et on a une belle quinzaine de… Lire la suite »
Alors il y a bien Sandy, mais en effet pas en version « maxifig » – ç’aurait été plus sympa.
Il s’agit de plates mais pas de baseplates – il y aura donc une différence d’épaisseur si tu veux aligner les modules avec des modulars standards. Et bien évidemment de profondeur par rapport à une baseplate de 32×32. Après ça reste du LEGO, quelques adaptations simples devraient faire l’affaire pour les intégrer dans une ville.
Oui, j’ai pas mis maxifig devent Sandy mais tu as fait le lien avec mon idée ^^.
C’est fun et coloré, à l’image de la gamme. Beaucoup de jolies minifigs et beaucoup trop d’autocollants.
Je ne collectionne pas cette gamme, et je ne vois où je mettrai ce joyeux gloubi-boulga dans ma ville 😅
grand collectionneur de cette gamme, je ne comprends pas l’intérêt de ce set
ça manque clairement de jouabilité pour les plus jeunes et d’expérience de construction pour les plus grands…
A force de vouloir reproduire ce qui a fait le succès de la gamme « cousine », là on s’éloigne du sujet et on est bien loin du résultat des gros sets Ninjago
Très bonne remarque – on s’éloigne en effet de ce qui fait le « sel » de cette gamme Monkie Kid, sans s’approcher, même de loin, des sets sur le même principe proposés dans la gamme Ninjago.
Là pour le coup je ne suis pas trop emballé, un bordel organisé avec plein de clin d’oeil et de références… Le soucis c’est qu’il y a trop de stickers et tous ces modules gâchent complètement le plaisir de construction. J’ai eu ce ressenti avec le dernier gros set city…. En moyenne on pose un autocollant toutes les 31 pièces… 31 pièces ça va vite et tout est gâché…. Une occasion manquée.
Je suis fan de cette gamme depuis ses débuts mais là j’avoue bof bof…
Oui, cette gamme nous a réservé de bonnes surprises, mais méritait probablement mieux pour son 5e anniversaire 😕
Tout-à-fait, cela méritait mieux. Et quand j’ai entendu le designer principal du set qui a dit lors de son interview qu’il avait passé un an sur ce projet…Oups !
Ton retour confirme ce que je pense globalement de ce type de set : la modularité se fait au détriment du plaisir de construction. Donc pour des enfants, ça doit être top, mais pour des adultes, c’est forcément moins attrayant… Mais sinon, je le trouve en plus trop bariolé. Là où les Ninjago City gardent quand même une certaine homogénéité, là j’ai vraiment l’impression de voir un feu d’artifice de briques avec des couleurs de partout. Enfin, dernier reproche : qu’est ce que c’est moche vu de derrière… au moins sur le centre ville City on a accès aux intérieurs,… Lire la suite »
Oui l’arrière est vraiment pas terrible… et très vide !