Aujourd’hui, je vous propose de vous replonger dans l’histoire de la conquête spatiale avec la navette spatiale américaine ayant passé le plus de temps dans l’espace : Discovery. Parmi ses missions, c’est notamment elle qui a mis en orbite le télescope spatial Hubble. LEGO proposera donc dès le 1er avril prochain son interprétation de cette machine mythique. Découvrons ensemble le set 10283 NASA Space Shuttle Discovery !

Informations principales :

  • numéro de set : 10283
  • année de sortie : 2021
  • nombre de pièces : 2354
  • prix sur le Shop@Home : 179,99 €
  • nombre d’étapes de construction : 56 pour Hubble, 503 pour Discovery
  • temps de construction :  6 heures
  • difficulté : difficile

Boîte et inventaire

Nous y sommes désormais habitués avec la gamme LEGO « 18+ » destinée aux collectionneurs adultes : la boîte adopte une belle livrée noire, avec dans sa partie inférieure un bandeau précisant le numéro de set et le nombre de pièces. La navette y est présentée sur son support d’exposition, Hubble volant à ses côtés. Un petit logo arborant une navette et la mention Space Shuttle Program, accompagné des dates 1981 – 2011 nous donne une idée de ce que commémore ce set : les 50 ans du programme américain STS (pour Space Transportation System) et les 10 ans de la fin de celui-ci. La navette spatiale Discovery a pour sa part effectué son premier vol le 30 août 1984.

Au dos de la boîte, la zone de cargaison est ouverte et le bras robotique semble prêt à mettre Hubble en service – on remarque en fait un support noir juste en-dessous de ce dernier. Un schéma nous précise les dimensions de la machine : 54cm de long par 34cm de large. Il va falloir trouver la place de l’exposer ! Enfin, on trouve également au dos 7 vignettes dont 5 consacrées à notre modèle et montrant certains détails. Les deux dernière sont des photos, une pour Discovery et l’autre pour Hubble.

À l’intérieur, nous trouvons 18 sachets numérotés de 1 à 17, et un sachet non numéroté. Nous avons également une notice d’instructions de 320 pages, deux planches d’autocollants dont une uniquement composée d’éléments « miroir » destinés à être placé du côté intérieur des panneaux de la zone cargo. Dernier élément, une planche prédécoupée contient les deux panneaux solaires du téléscope Hubble. Dans la notice, on trouve quelques éléments d’histoire relatifs au programme STS. Elle est également ponctuée de quelques facts au fil des pages et c’est assez intéressant.

Il m’est difficile de vous faire un inventaire exhaustif des pièces spécifiques ou rares, l’inventaire n’étant pas encore publié à l’heure où j’écris ces lignes. Néanmoins, on remarquera une jolie collection d’éléments rares voire exclusifs comme certaines pièces argentées couleur silver ink, le magnifique pare-brise ou les différents éléments tampographiés.

La construction

Le télescope spatial Hubble

Le premier sachet de pièces est vite expédié. On y assemble un petit support pour la plaque signalétique d’Hubble et son autocollant, puis on construit le support d’exposition du télescope. Quelques éléments Technic permettent d’obtenir l’angle désiré mais le tout est bien fini avec des tiles noires. Deux picots (PLATE 1X1, W/ 3.2 SHAFT AND 1.5 HOLE) serviront à maintenir Hubble en place.

On s’attaque ensuite à Hubble en lui-même, et si vous avez déjà construit des fusées LEGO vous ne serez pas dépaysé. On commence par une structure essentiellement composée de briques SNOT. On habille ensuite la partie supérieure du télescope pour lui donner sa forme cylindrique, en rapportant des sous-assemblages à base de slopes argentées. On termine cette étape avec l’assemblage du « coeur » de la partie basse, légèrement plus imposante que la partie supérieure.

Nous nous occupons ensuite du volet de protection, fixé sur deux clips à la structure, et des deux antennes à grand gain fixées sur les côtés. On s’occupe alors d’habiller la partie inférieure du télescope et la technique employée est intéressante : des éléments sont clipsés à la structure pour combler les espaces vides entre les slopes déjà utilisées sur la partie supérieure. On couvre cette partie inférieure, à son extrémité, d’un sous-assemblage avec quelques équipements. Enfin, nous construisons les deux panneaux solaires qu’on fixe au télescope sur des charnières à cliquet. Ces derniers sont orientables.

La navette spatiale Discovery

Tout comme pour Hubble (une fois n’est pas coutume), la construction commence par le support d’exposition. Et même directement par l’application du grand autocollant type « UCS » sur sa tile. L’autocollant est d’ailleurs un peu étrange : dans le titre, il fait apparaître Space Shuttle Discovery STS-31 – qui correspond à la mission de mise sur orbite de Hubble. Mais dans la description, ce sont bien les caractéristiques de la navette en elle-même.

Le support d’exposition est construit sur le même principe que celui d’Hubble, à la différence près que celui-ci est nettement plus imposant. On retrouve une structure Technic et quelques brackets permettent d’habiller l’extérieur pour un aspect final très sobre et presque « élégant ». Dommage qu’il subsiste quelques tenons visibles.

Nous attaquons alors la navette proprement dite. Et pour cela nous commençons par sa partie arrière. Sur une base de forme trapézoïdale composée de plates de différentes formes, nous construisons une partie du mécanisme qui permettra la mise en mouvement des volets et nous ajoutons les deux trains d’atterrissage. Ceux-ci prennent place dans deux « cadres » constitués d’éléments Technic.

Nous construisons ensuite un grand sous-ensemble, essentiellement par superposition de plates et wedges, également de forme trapézoïdale mais nettement plus « allongé » que le précédent. Nous l’attachons à l’ensemble construit précédemment.

L’étape suivante m’a un peu rappelé la construction du set 76161 1989 Batwing, que j’ai pu tester pour vous il y a peu. Nous allons construire quatre sous-ensembles qui formeront les bords d’attaque des ailes. Il s’agit essentiellement de slopes grises ou noires disposées en vis-à-vis. Les deux premiers sous-ensembles, les plus longs, prennent place à l’avant. Les deux autres sont installés sur la partie la plus large des ailes. On comble l’espace à cet endroit et on rigidifie l’ensemble avec deux grandes wedges bleues.

On assemble ensuite un grand sous-ensemble qui comporte, à son extrémité, le volet principal. Celui-ci est fixé sur deux ball joints et est donc articulé, sur un seul axe. Ce grand sous-ensemble coulisse sur des tiles et permet, en le poussant, de libérer les 3 trains d’atterrissage. On complète alors l’avant de la machine avec son train d’atterrissage, maintenu en place par un amortisseur, et quelques éléments SNOT pour habiller cette partie de la navette.

L’étape suivante est assez vite expédiée. Elle consiste à réaliser le « sol » de la soute avec quelques slopes blanches, puis à remplir les ailes d’éléments blancs pour cacher la structure située en-dessous. Notez que les deux grandes tiles de 5×5 tenons sont tampographiées. Si cela se voit moins qu’avec des éléments noirs, elles ne sont pas brillantes comme les tiles alentour – un problème récurrent avec les tiles de grandes dimensions.

On bloque alors les deux ressorts reliés aux trains d’atterrissage arrières afin qu’une pression sur le volet principal les libère. On s’attarde ensuite sur l’arrière où on commence par construire une structure sur les deux côtés. On élabore alors un grand sous-ensemble noir duquel dépassent 3 axes Technic sur lesquels viendront se fixer les moteurs. L’un d’entre eux entraîne, en tournant, deux biellettes qui permettent de faire monter ou descendre les élevons. Ce sous-ensemble est positionné dans la structure construite précédemment et clipsé à la navette pour obtenir l’angle désiré.

Nous restons à l’arrière de la navette en ajoutant deux briques tampographiées « United States » et du drapeau américain (dont un est à l’envers – comme en miroir – mais c’est normal : les normes imposent que les étoiles soient toujours du côté avant, comme si le drapeau flottait dans l’air). On construit alors la paroi du fond de la soute, couverte de brackets, on la décore de quelques tiles et d’un drapeau. On termine cette étape avec un petit sous-ensemble, fixé sur deux clips, qui recevra par la suite la dérive.

Nous continuons notre construction avec les parois latérales de la soute, que l’on élève avec quelques slopes et autres panels. Nous aménageons également le pont intermédiaire (middle deck) avec un siège (représenté par un bracket) et quelques instruments prenant la forme de petite tiles tampographiées. Un axe Technic situé à l’arrière de ce pont intermédiaire (et donc à l’avant de la soute) permettra la fixation des portes de la soute.

Et justement, c’est la soute qui va nous intéresser dans l’étape suivante. Avec pour commencer la paroi avant de celle-ci, qui la sépare du poste de pilotage. Il s’agit d’un sous-ensemble de forme arrondie, disposant d’un côté de pièces tampographiées pour les commandes de la navette, et de l’autre de quelques clips. On installe ensuite, à l’intérieur de la soute, l’antenne Ku-band (permettant la communication avec la Terre) et le RMS (pour Remote Manipulation System), le bras robotisé servant aux manipulations dans l’espace. On assemble alors les portes de la soute, constituées chacune de 4 grands panneaux courbes divisés en deux ensembles de deux. Côté intérieur, il faut coller 3 autocollants argentés sur chacun de ces panneaux. Et ce n’est pas une mince affaire : les pièces sont incurvées, et les autocollants plutôt grands. Ces panneaux sont fixés à la structure, et les deux sous-ensembles de chaque côté sont ensuite solidarisés.

Nous attaquons alors l’avant de la navette et plus précisément son « nez ». Nous commençons avec 4 sous-assemblages – deux de chaque côté – le second étant partiellement disposé sur le premier. Sur le côté, de petites pièces viennent représenter le RCS (pour Reaction Control System – qui permet de contrôler les mouvements de la navette une fois celle-ci dans l’espace). On travaille alors la partie centrale avec quelques slopes et des pièces Technic laissant apparaître l’extrémité des pins, représentant ici les divers capteurs présents dans le nez de l’engin. Ce petit sous-ensemble se clipse à la structure, on achève alors cette étape avec quelques slopes blanches pour « refermer » le tout.

On passe ensuite sur l’arrière, en construisant 4 sous ensembles servant d’élevons. On les fixe sur les axes Technic laissés en attente au début de la construction. Nous assemblons alors la dérive et la gouverne, que l’on assemble entre elles avec des éléments Technic. La conception de la gouverne permet ainsi de la faire tourner sur son axe, mais également de se séparer en deux morceaux pour servir d’aérofrein – comme sur la véritable navette.

Nous restons sur l’arrière avec deux nouveaux sous-assemblages : les deux « pods » RCS/OMS, pour Reaction Control System / Orbital Maneuvring System. Il s’agit d’ensembles contenant du carburant et des moteurs, permettant diverses manoeuvres  dans l’espace. Ici, les réservoirs sont constitués d’un « coeur » en briques SNOT couvert de slopes blanches. Un petit moteur est fixé à l’arrière. Le petit module RCS est fixé sur deux pins.

Nous terminons la navette avec un petit sous-assemblage comprenant le cockpit et son joli pare-brise tampographié. À l’intérieur, des petites tiles et slopes tampographiées représentent les différents écrans et organes de contrôle, et les 4 sièges bleus sont réalisés avec des brackets. L’ensemble se pose au-dessus du pont intermédiaire – il est assez facile de le retirer pour accéder à ce dernier. On termine avec 3 sous-assemblages. Le premier est un support qui permet d’installer Hubble légèrement au-dessus de la soute, comme si le bras robotique était en train de le manipuler. Les deux autres représentent les panneaux solaires de Hubble lorsqu’ils ne sont pas encore déployés, et permettent de caser le télescope dans la soute de la navette.

Verdict

Bon, vous devez vous en douter à la lecture du chapitre précédent : je trouve cet ensemble particulièrement réussi. Le modèle est très impressionnant de détails, le designer allant jusqu’à utiliser le « tube » des pins Technic pour représenter certains des organes de manoeuvre. Rien ne dépasse, c’est vraiment « propre ». Et la même attention aux détails a été portée aussi bien sur la pièce « maîtresse » du set, la navette, que sur le télescope Hubble également très bien réalisé.

C’est d’ailleurs intéressant que LEGO ait choisi, pour commémorer les 40 ans du premier vol de la navette spatiale, de représenter cette mission STS-31 (ayant eu lieu en 1990) et la navette Discovery plutôt que le premier vol de la navette Columbia et la mission STS-1. Le tragique accident de Columbia en 2003 n’y est certainement pas pour rien. En choisissant cette mission, LEGO nous propose d’ajouter à ce set le télescope spatial Hubble qui est sans aucun doute l’un des objets les plus emblématiques envoyés par la navette spatiale. Et qui a contribué de manière exceptionnelle à la recherche scientifique.

On regrettera peut-être l’absence de mini / microfigs : les membres d’équipage de la mission STS-31 auraient mérité d’être représentés d’une manière ou d’une autre. Et cela aurait apporté une certaine cohérence avec les autres sets dédiés à l’exploration spatiale sortis récemment : le set LEGO Ideas 21309 NASA Apollo Saturn V – réédité sous la référence 92176 – comprend 3 microfigs, et le set 10266 NASA Apollo 11 Lunar Lander contient deux astronautes.

Le design n’est malgré tout pas parfait : on regrettera, comme d’habitude, l’écart de teinte entre certaines pièces. Il est ici plutôt visible entre le blanc « brillant » de la navette, et le blanc mat utilisé pour les grandes tiles tampographiées sur les ailes. On le remarquera aussi sur les pièces argentées utilisées pour Hubble – cet écart étant certainement dû au procédé de fabrication des pièces couleur silver ink. Cette couleur est également très sensible aux rayures et elles peuvent parfois s’avérer assez visibles.

Mais mon vrai « grand » regret en termes de design, ce sont les 24 autocollants argentés à disposer sur la partie concave des portes de la soute de la navette. Ils ne sont franchement pas faciles à coller, et il en résulte quelques petits écarts. C’est d’autant plus dommage que la plupart des pièces sont tampographiées : hormis les autocollants des plaques signalétiques type « UCS », on ne recense que 4 autres autocollants. A ce titre d’ailleurs, le « pare-brise » (je ne sais pas s’il existe un terme particulier pour la navette) tampographié est absolument superbe.

Passons aux bons points : comme je le disais un peu plus haut, hormis les défauts mentionnés au paragraphe précédent, c’est presque parfait. Tous les détails sont là, qu’il s’agisse des moteurs auxiliaires, des systèmes de manoeuvre, des élevons, des charnières noires de la soute… c’est franchement beau. Pareil pour Hubble avec ses deux superbes panneaux solaires, ses antennes et son optique protégée par une porte articulée sur des clips.

Côté intérieur, on remarquera évidemment le cockpit et ses deux ponts, avec les sièges disposés comme lors de la vraie mission et tous les panneaux de commande ; mais également dans la soute l’antenne ku-band permettant la communication avec la Terre, les caméras ou le bras robotisé RMS (Remote Manipulation System).

Les détails sont donc présents, et la bonne nouvelle c’est que les fonctionnalités aussi. Ainsi, une pression sur le volet principal libère les 3 trains d’atterrissage. En tournant le moteur supérieur, on incline les élevons. Et les portes de la soute s’ouvrent, cette soute étant conçue pour pouvoir recevoir le télescope. On notera également que la dérive « s’ouvre » comme sur la vraie navette pour servir d’aérofrein. Enfin, le bras mobiles RMS est articulé et permet donc de faire mine de saisir le télescope pour sa mise en orbite.

Car c’est l’autre bonne idée de ce set : permettre aux acquéreurs de l’exposer comme ils le souhaitent. Ainsi, Discovery et Hubble disposent chacun de leur support d’exposition noir, très sobre et propre, avec une plaque signalétique façon UCS. Mais comme je le disais plus haut, il est également possible de mettre Hubble dans la soute – LEGO nous proposant alors de remplacer les panneaux solaires par deux petits tubes. Enfin, LEGO nous propose un support noir supplémentaire à installer dans la soute et permettant de disposer Hubble juste au-dessus de celle-ci, tout en attachant le bras RMS au télescope.

Ce que j’ai apprécié également, et qui fait partie intégrante de l’expérience de construction, c’est la manière dont est conçue la notice d’instructions. Très régulièrement, en fonction des éléments construits, elle est ponctuée de petits « Did You Know ? » (Le saviez-vous ?) nous expliquant la finalité des éléments construits. Quelques pages en début de notice nous retracent également les étapes principales du programme spatial américain. Tout ceci ajoute un volet « éducatif » plutôt intéressant.

Pour rester sur l’expérience de construction, hormis les autocollants internes à la soute dont je parlais un peu plus haut, c’est également très intéressant et varié. Les techniques employées par le designer sont inventives, notamment lorsqu’il s’agit de trouver des angles un peu particuliers pour les moteurs ou la dérive par exemple. Sans oublier la manière d’intégrer les différentes fonctionnalités, qui ne nuisent par ailleurs absolument pas au design de l’ensemble tant elles sont bien intégrées.

Terminons comme d’habitude avec le volet « financier » : à 179,99 € pour 2354 pièces, cela me parait plutôt raisonnable. Sans compter que l’inventaire compte un certain nombre d’éléments intéressants dont de jolies pièces tampographiées.

En bref, LEGO nous propose ici un set qui devrait ravir tous les fans de la conquête spatiale. Pas parfait, il n’en reste pas moins très bon, intéressant à construire et proposé à un tarif raisonnable. Un bon set.

Voilà, j’espère que vous aurez trouvé dans cet article de quoi vous faire une opinion sur ce modèle. Vous le trouverez sur le Shop@Home, à cette adresse. Sa sortie est prévue pour le 1er avril. N’hésitez pas à partager votre point de vue, en intervenant dans les commentaires un peu plus bas !

Merci à LEGO pour la fourniture du set pour cette review. La fourniture d’un set ne garantit en rien une review positive, et tout ce que vous avez pu lire dans cet article est l’expression de ma propre opinion.

RÉSULTATS
Design
Expérience de construction
Bonne affaire
nasa-space-shuttle-discovery-lego-18-10283-reviewUn très bon set (même s'il n'est pas parfait 😉), intéressant à construire et au design réussi, que les fans de la conquête spatiale apprécieront.
S’abonner
Notifier de
guest

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

18 Commentaires
plus récent
plus ancien Le plus populaire
Inline Feedbacks
View all comments
Cuzion

Globalement tout a déjà été dit dans les commentaires donc je vais juste te remercier pour cette review très détaillée et réussie.
Ça me convainc d’essayer de l’avoir avec le petit bonus VIP.

Cuzion

C’est clair que je n’y crois pas beaucoup ^^’

Bennybrickz

Jolie review !
Le set me fait vraiment envie, il irait très biena avec ma saturn, le lander et l’iss.

Le Tonyz

Super review et superbe set ! Les premières images de la navette me donnaient envie, ton article me confirme l’envie de l’avoir dans ma collection. Et c’est un bon choix cette mission avec l’emblématique télescope Hubble. Dommage que toutes les pièces ne soient pas tampographiées, j’imagine déjà la galère pour les autocollants sur les panneaux… Dommage aussi ne pas avoir quelques microfigs à installer au poste de pilotage, mais je pourrai utiliser ceux de Saturn V. Le prix est honnête, à voir si je craque à sa sortie avec sa récompense. Je pourrai l’exposer à coté de l’emblématique navette Technic… Lire la suite »

Simicro

Merci Mephisto.

Punaise, à peine après l’annonce officielle de LEGO hier https://brickonaute.fr/lego-18-10283-nasa-discovery-space-shuttle-lannonce-officielle/ voilà déjà la review

Le téléscope et le support de la navette sont des gros plus.

Last edited 3 années il y a by Simicro
Simicro

Super, merci pour ces explications sur ce qui se passe dans les coulisses entre les RLFM et TLG ; c’est instructif 🙂

tonio_sport

J’étais hésitant. Mais tu m’as convaincu. Je ne sais pas si je dois te remercier 😉 Le hubble est juste terrible ; je le trouve plus réussi que la navette.

Dav

Bien sûr que si hubble existe déjà en lego dans un ancien set 7470

Last edited 3 années il y a by Dav
Thomas Lego

Superbe review très détaillée👍😃!
Tu mets vraiment bien en avant ce produit ! Cette navette et le satellite hubble sont très réussies. L’ensemble rend bien. Le fait de pouvoir l’exposer grâce aux supports est un vrai plus. Sans compter les autres possibilités d’exposition.Les fonctionnalités sont très intéressantes. Le fait de pouvoir intégrer le satellite dans la navette est franchement bien conçu. Le prix fait que cette navette n’est pas donné. Mais cela reste raisonnable pour ce LEGO qui est très réussi.

Elvis

Quelle belle review détaillée ! 👍
Faut dire que l’engin en jette vraiment
J’adore la possibilité d’exposer l’ensemble selon ses envies
Dis donc, à 4.7 de score global, ça n’aurait pas mérité une distinction particulière ? 😉